Un graphiste Freelance avec 15 ans d’expérience qui bosse dans l’édition (ancien DA du groupe Eyrolles, ancien responsable graphique chez Flammarion), qui a bossé pour la pub et qui bossera sans doute ailleurs. Curieux de nature, j’aime apprendre et découvrir de nouveaux territoires visuels.

Sensibilité… Humaniste. J’aime bien les gens. J’aime bien me marrer, bien manger (j’adore la cuisine), bien boire. J’aime prendre du temps et du recul aussi. Je bouquine beaucoup, j’adore ça. J’aime tout ce qui touche à l’image. J’aime l’idée réduite à une expression minimale, l’efficacité d’un visuel fort. J’aime quand le fond et la forme sont liés.

Egalement musicien depuis plus de 25 ans, je joue de la guitare, du ukulélé, de la mandoline et du banjo bluegrass. Bref, tout se qui se gratte !

Merci de me lire
flamidon

6 Replies to “Qui suis-je ?”

  1. Bonjour !

    Un professeur d’Estienne m’a parlé de vous !

    Je suis en BTS Edition et je ne rêve que d’une chose : la créa…mais avec tous ces cours de fab et d’économie…

    J’ai cru comprendre que nous avions plus ou moins le même parcours et que vous avez, vous, réussi à bosser dans la créa ?

    1. Bonjour,
      Je vais vous répondre directement par mail, mais plus globalement, le métier de graphiste (n’hésitez-pas à me contredire) est un métier à l’accès facile et en même temps très compliqué. C’est un métier très concurrentiel, qui avance très vite et qui nécessite une recherche et un apprentissage permanent mais c’est aussi une activité où l’on juge (globalement et à quelques réserves près) vos qualités sur votre production, sur votre identité. Conclusion, il faut se limer le cerveau, produire (beaucoup) et avoir faim d’apprendre. Après pour trouver du boulot, il y a aujourd’hui pas mal d’options. Pour apprendre le métier y a pas mal de sites d’appels d’offres (genre designonclick) où ça coûte rien de participer et où on peut trouver des projets appliqués sympa. Sinon, les communautés de graphistes (genre graphistes-world) où on trouve des concours, etc. Pour moi, l’important, c’est surtout de se frotter à des projets appliqués, à des projets « réels ». Sinon, on se pardonne trop de trucs et on glisse toujours vers ce que l’on sait faire (ce qui n’est pas le but). Une fois que t’as un book (ndlr : un ensemble de réalisations à présenter) tu peux te frotter au freelance et à l’intérim (ça fait le cuir). A mon sens c’est globalement difficile de trouver un poste fixe avec moins d’un an – voire deux – d’expériences cumulées, mais c’est jouable. Mais attention, souvent les postes ouverts aux débutants sont des postes difficiles où il faut s’investir beaucoup avec un retour sur investissement faible… quand on est passionné, ça passe.

      Voilà, globalement ce que je pense sur le début de carrière d’un graphiste.

      N’hésitez pas à commenter

  2. Cher Monsieur,
    Je travaille actuellement sur l’hebdomadaire Les Lettres françaises (1941-1972) et je souhaite vous poser quelques questions sur la typographie du journal, que je voudrais replacer dans le contexte de l’histoire typographique, notamment pour les années cinquante. Est-il possible de vous contacter rapidement par mail?
    Bien cordialement
    Luc Vigier
    Université de Poitiers

  3. Bonjour, pourriez vous nous dire quelle est l’église sur votre illustration du livre Les cathédrales du vide, d’Henri Loevenbruck? Merci

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